Rapports de police
Mots-clés : Profession
Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on l'interrogeait...

L'homme a refusé de reconnaître qu'il avait menti en affirmant qu'il était mort.

L'homme refusa de nous présenter ses papiers qu'il n'avait pas...

L'homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche.

L'homme nous parla de son affaire qui n'était pas bien grosse au début mais qu'il avait réussi à faire grossir grâce à son épouse...

Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils...

Les 9 coups de couteau relevés sur le cou de la défunte laissaient à croire à une mort qui n'était pas naturelle...

Maîtrisé par nos soins l'homme s'est enfui à toutes jambes...

Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...

Il est probable que le suicidé a été lâchement assassiné.

L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire.

Dés que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.

L'homme accepta volontiers de nous suivre contre son gré.

L'homme répondit verbalement qu'il ne répondrait que par écrit.

L'homme rentrait tranquillement chez lui sans s'apercevoir qu'il était mort.

Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eut lieu...

L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté...

Assis dans sa voiture l'homme faisait mine d'attendre l'autobus.

Arrêté par les gendarmes le voleur les a menaces d'appeler la police.

Toute la brigade ne fut pas assez nombreuse pour être assez.

Selon ses dires l'homme est mort vers 16h35.

Nous avons pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.

C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.

Quand le contrevenant a crié : 'Espèce de gros con !', dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.

L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté. Le suspect s'est alors décide à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.

L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.

L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.

Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts.

L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.

L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres.

Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

Pour finir, l'interpellé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.

Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.

Malgré un taux d'alcoolémie de 3.8, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.

Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant.

C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.

Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

Un violent coup de marteau l'avait cloue au lit depuis deux jours.

Le pendu est mort noyé !

Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.

Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.

L'homme avait tente de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire.

Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouve qu'elle est en vie.

Le prévenu a attendu d'avoir fin son repas pour commencer une grève de la faim.

Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...

C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.

Le garçon de café était une femme...

L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges.

L'homme attendait l'autobus d'un oeil suspect...

Les trois africains soupçonnés d'avoir trempé dans l'affaire ont tous été blanchis par l'enquête qui a suivi.

Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière...

Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été oblige de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait commis.

L'homme s'est pendu après s'être tranche la gorge.

Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.