1. Deux types du Kentucky ont essayé d'arracher du mur d'une banque un distributeur d'argent liquide en l'attachant avec une chaîne au pare-chocs de leur pick-up.
Malheureusement leur pare-chocs n'était pas assez solide et ils l'arrachèrent. Affolés nos compères ont pris la fuite en laissant la chaîne... et la plaque minéralogique !
2. Un Texan condamné pour cambriolage a fait arrangement avec le juge en payant la somme de 9 600 US$ au lieu des deux ans de prison prévus.
Il a fait le chèque le jour-même, le chèque était en bois, il a récolté huit ans de prison de plus.
3. Dans le conté d'Orange, un homme a reçu une forte amende pour avoir roulé dans la file réservée au covoiturage.
Cet homme a fortement protesté, en argumentant qu'il avait 4 cadavres dans son fourgon mortuaire.
Après longue réflexion, le juge a décidé de poursuivre statuant que les passagers devaient être vivants dans le cas du covoiturage.
4. A la demande de sa profession, une femme accusée d'infraction au Code de la Route répond qu'elle est institutrice. Se levant de son fauteuil, le juge lui tint ce langage :
- Madame, cela fait des années que j'attends une maîtresse d'école devant ce tribunal.
Et avec un grand sourire de rajouter :
- Maintenant asseyez-vous à cette table et écrivez :
- Je ne dois pas passer au feu rouge" 500 fois.
5. Un juge de Louisville a décidé que le jury était allé "un petit peu trop loin" en condamnant un homme coupable de 5 cambriolages et d'un enlèvement à 5 005 ans d'emprisonnement. Il a donc réduit la peine à 1 001 ans...
6. Un avocat défendant un homme accusé de vol à l'étalage essaya cette défense créative :
- Mon client a innocemment introduit son bras à travers la fenêtre et l'a ressortit avec quelques bijoux. C'est son bras et non point lui que l'on doit punir.
Amusé, le juge lui répondit :
- Bien, Maître, utilisant votre logique, je condamne le bras de l'accusé à une peine d'emprisonnement d'un an. Il peut accompagner son bras s'il le désire...
Hilare, l'avocat s'approche de son client et l'aide à décrocher son bras artificiel, le laisse sur la table, et l'accusé quitta le tribunal, libre.
(Ce que l'histoire ne dit pas c'est si le bras est, oui ou non, allé en prison...)
7. Deborah Faryniarz, une New-Yorkaise de 30 ans réclame 10 millions de dollars de dommages et intérêts à Nike. Elle tient le fabriquant responsable des blessures qu'elle s'est faite lorsqu'elle est tombée... en marchant sur son lacet.
Elle estime en toute objectivité que seul un défaut de conception ou de fabrication a pu être responsable de sa chute, et affirme, en grande professionnelle de la course à pied, qu'elle est tout à fait sûre de ses lacets.
8. Sept employés de Microsoft, s'estimant victimes de discriminations salariales, réclament la bagatelle de 5 milliards de dollars à la firme. Ca qui les aidera peut-être, c'est que l'affaire a été remise au juge Thomas Jackson, celui qui a ordonné le partage en deux de Microsoft lors de son procès anti-trust...
Pour la comparaison, c'est environ ce que gagnent, en 40 ans, 2000 employés réunis, payés au SMIC.